Différences entre les versions de « Troc'hañ, trec'hiñ »

De Arbres
Ligne 16 : Ligne 16 :
|||colspan="15" | 'Il était en train de couper du trèfle pour ses bêtes.'
|||colspan="15" | 'Il était en train de couper du trèfle pour ses bêtes.'
|-
|-
|||||||||||||colspan="15" | ''Cornouaillais de l'Est (Lanvenegen)'', [[Evenou (1987)|Evenou (1987]]:576)
|||||||||||||||colspan="15" | ''Cornouaillais de l'Est (Lanvenegen)'', [[Evenou (1987)|Evenou (1987]]:576)
|}
|}


Ligne 32 : Ligne 32 :
|||||||||||colspan="15" | ''Ouessant'', [[Gouedig (1982)]]
|||||||||||colspan="15" | ''Ouessant'', [[Gouedig (1982)]]
|}
|}


== Bibliographie ==
== Bibliographie ==

Version du 5 juin 2022 à 09:53

Le verbe troc'hañ, trouc'hañ, trec'hiñ signifie 'couper, trancher'.


Morphologie

variation dialectale

(2) [ wahô (o) tròho mèls̈ən wit i lônəT. ]
Oa-eñ o troc'hañ melchon evit e loened.
était-lui à4 couper trèfle pour son1 bête.s
'Il était en train de couper du trèfle pour ses bêtes.'
Cornouaillais de l'Est (Lanvenegen), Evenou (1987:576)


On trouve à Ouessant la forme trec'hiñ, qui ailleurs peut signifier 'vaincre' sur trec'h 'victoire'.


(3) An eost a veze ez da drehi da houde; e veze greet gand ar falz ez.
le moisson R1 était aussi à1 couper à1 après R4 était fait avec le faux aussi
'Il y avait aussi la moisson à couper après, on le faisait à la faux, aussi.'
Ouessant, Gouedig (1982)

Bibliographie