Différences entre les versions de « Le Brigant (1779) »

De Arbres
 
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L'auteur était avocat à Tréguier. Le parti pris pour le dialecte trégorrois est évident p.28.
L'auteur était avocat à Tréguier. Le parti pris pour le dialecte trégorrois est évident p.28.


[[Lambert (1976)|Lambert (1976]]:) note: "sa description est brève, presque squelettique; il y a quelques idées neuves (le verbe 'aller' aurait donné les désinences des verbes actifs, idée souvent reprise ensuite). Le tout se termine par quelques textes avec traduction (''La Parabole de l'enfant prodigue''), comme dans les grammaires qui vont suivre ([[Dumoulin (1800)|Dumoulin]], [[Le Gonidec (1807)|Le Gonidec]])"
[[Lambert (1976)|Lambert (1976]]:238) note: "sa description est brève, presque squelettique; il y a quelques idées neuves (le verbe 'aller' aurait donné les désinences des verbes actifs, idée souvent reprise ensuite). Le tout se termine par quelques textes avec traduction (''La Parabole de l'enfant prodigue''), comme dans les grammaires qui vont suivre ([[Dumoulin (1800)|Dumoulin]], [[Le Gonidec (1807)|Le Gonidec]])".





Version actuelle datée du 3 mai 2021 à 08:56

  • Le Brigant, Jacques. 1779. Éléments de la langue des celtes Gomerites ou Bretons, Strasbourg, Hez Lorenz and Schouler. Impr. de la Nob.


L'auteur était avocat à Tréguier. Le parti pris pour le dialecte trégorrois est évident p.28.

Lambert (1976:238) note: "sa description est brève, presque squelettique; il y a quelques idées neuves (le verbe 'aller' aurait donné les désinences des verbes actifs, idée souvent reprise ensuite). Le tout se termine par quelques textes avec traduction (La Parabole de l'enfant prodigue), comme dans les grammaires qui vont suivre (Dumoulin, Le Gonidec)".


à propos

Les tentatives de l'auteur de comparer le breton aux autres langues sont follement créatives.