Différences entre les versions de « Discussion:Les prépositions doublées »
De Arbres
(abalamour n'est jamais employé seul mais avec "da" ou "ma") |
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: Je l'ai gardée par principe, et parce qu'elle n'est pas précisément incorrecte. | : Je l'ai gardée par principe, et parce qu'elle n'est pas précisément incorrecte. | ||
: Un exemple qui ne pose pas ce problème serait plus adapté. | : Un exemple qui ne pose pas ce problème serait plus adapté. | ||
--[[Utilisateur:Jadé Loïc|Jadé Loïc]] 9 décembre 2013 à 11:17 (CET)"Il est écrit :Doublage de la préposition | |||
Il existe des paradigmes en breton où il est ardu de motiver l'insertion de la préposition da devant une infinitive. Ci-dessous, le premier da introduit l'expérienceur, mais l'insertion du second devant l'infinitive est mystérieuse. | |||
(1) abalamour dezañ da zont en-dro" Il me semble clair que ce second "da" complète "abalamour" que l'on ne trouve jamais seul : "abalamour ma" pour introduire une enchâssée ou "abalamour da" devant un nom ou un pronom ou un verbe à l'infinitif |
Version du 9 décembre 2013 à 12:17
- [LJ]: Dans le chapitre "doublage de la préposition"
- Abalamour dezhañ da zont en dro serait plus utilement traduit par "pour qu'il revienne"
- car la structure infinitive en français suppose le même sujet dans les deux propositions :
- "J'ai beaucoup insisté pour revenir à la maison" implique que c'est moi qui rentre .
- Si c'est quelqu'un d'autre qui rentre, je dois conjuguer rentrer en
- "J'ai beaucoup insisté pour qu'il rentre à la maison"
- Au contraire , en breton la même tournure infinitive est possible
- "Pouezet 'm eus kalz din da zont en dro" ou "Pouezet 'm eus kalz dezhañ da zont en dro"
- [MJ]:
- Cette traduction un peu maladroite (et bizarre, surtout avec "retourner") est celle de Trépos.
- Je l'ai gardée par principe, et parce qu'elle n'est pas précisément incorrecte.
- Un exemple qui ne pose pas ce problème serait plus adapté.
--Jadé Loïc 9 décembre 2013 à 11:17 (CET)"Il est écrit :Doublage de la préposition Il existe des paradigmes en breton où il est ardu de motiver l'insertion de la préposition da devant une infinitive. Ci-dessous, le premier da introduit l'expérienceur, mais l'insertion du second devant l'infinitive est mystérieuse.
(1) abalamour dezañ da zont en-dro" Il me semble clair que ce second "da" complète "abalamour" que l'on ne trouve jamais seul : "abalamour ma" pour introduire une enchâssée ou "abalamour da" devant un nom ou un pronom ou un verbe à l'infinitif