Différences entre les versions de « Discussion:La(r) »

De Arbres
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:Kenoñ.
:Kenoñ.
:--[[Utilisateur:Mjouitteau|MJ.]] ([[Discussion utilisateur:Mjouitteau|discussion]]) 6 juillet 2014 à 10:34 (CEST): Merci de votre aide. Ces ressources sont précieuses. J'ai déplacé l'exemple en question et corrigé sa traduction. Il illustre maintenant le processus de grammaticalisation en tête d'article.   
:--[[Utilisateur:Mjouitteau|MJ.]] ([[Discussion utilisateur:Mjouitteau|discussion]]) 6 juillet 2014 à 10:34 (CEST): Merci de votre aide. Ces ressources sont précieuses. J'ai déplacé l'exemple en question et corrigé sa traduction. Il illustre maintenant le processus de grammaticalisation en tête d'article.   
: Dans le dico en ligne, à ''la/lar'', on trouve ''Me lar zo dit (la)!'', 'Moi je te le dis (que)!' traduit aussi 'Je peux te dire que'. S'agit-il d'une forme de ''laret 'zo dit?'' (et si oui, quelle forme apparait devant? ''me'? ''met''? Si non, quel interprétation avez-vous de la préposition ''[[da]]''?) S'agit-il d'une grammaticalisation autre?




* [LJ/01/2013] Un exemple de l'utilisation de "la" dans la littérature du pays bigouden. Elle est l'oeuvre de Marsel Divanac'h, marin de Lesconil, devenu instituteur . La phrase est extraite de "Gwechall ar vartoloded" édité dans le livre "Loup de mer son fils bachelier et le fayot rouge" éditions du vieux meunier breton 1973 page 46 :
* [LJ/01/2013] Un exemple de l'utilisation de "la" dans la littérature du pays bigouden. Elle est l’œuvre de Marsel Divanac'h, marin de Lesconil, devenu instituteur . La phrase est extraite de "Gwechall ar vartoloded" édité dans le livre "Loup de mer son fils bachelier et le fayot rouge" éditions du vieux meunier breton 1973 page 46 :
: "Krede start a ren la ra beskerez zipentait ouz o feiz" = "Ils étaient convaincus que la pêche dépendait de leur foi."
: "Krede start a ren la ra beskerez zipentait ouz o feiz" = "Ils étaient convaincus que la pêche dépendait de leur foi."
:(La traduction est de l'auteur.)
:(La traduction est de l'auteur.)

Version du 6 juillet 2014 à 10:47

  • [2014]: Bonjour, je viens de lire votre page, intéressante au demeurant, mais il y a une erreur : "en matrice en place du rannig". Ici c'est "lar" = dire, comme vous me l'aviez fait remarquer sur mon blog, je vous avais répondu.
Sinon vous trouverez également une vingtaine d'autres exemples d'emploi de "la(r)" (ils sont tous répertoriés dans "lar") dans mon dico en ligne http://brezhoneg-digor.blogspot.fr/2012/04/diskioner-kreis-breizh.html
Les communes sont citées pour chaque exemple
Si ça peut aider
Kenoñ.
--MJ. (discussion) 6 juillet 2014 à 10:34 (CEST): Merci de votre aide. Ces ressources sont précieuses. J'ai déplacé l'exemple en question et corrigé sa traduction. Il illustre maintenant le processus de grammaticalisation en tête d'article.
Dans le dico en ligne, à la/lar, on trouve Me lar zo dit (la)!, 'Moi je te le dis (que)!' traduit aussi 'Je peux te dire que'. S'agit-il d'une forme de laret 'zo dit? (et si oui, quelle forme apparait devant? me'? met? Si non, quel interprétation avez-vous de la préposition da?) S'agit-il d'une grammaticalisation autre?


  • [LJ/01/2013] Un exemple de l'utilisation de "la" dans la littérature du pays bigouden. Elle est l’œuvre de Marsel Divanac'h, marin de Lesconil, devenu instituteur . La phrase est extraite de "Gwechall ar vartoloded" édité dans le livre "Loup de mer son fils bachelier et le fayot rouge" éditions du vieux meunier breton 1973 page 46 :
"Krede start a ren la ra beskerez zipentait ouz o feiz" = "Ils étaient convaincus que la pêche dépendait de leur foi."
(La traduction est de l'auteur.)
--MJ. 13 janvier 2013 à 17:08 (CET): Dreist! Dernière chose à faire avant d'intégrer l'exemple: s'assurer qu'il est natif de la langue sans interruption de pratique. Si c'est le cas, je reporterai cette information avec sa source référencée dans "auteurs brittophones", puis créerai une page associée au corpus.
[LJ]: Voici un extrait de Wikipedia où, d'après le lieu, la date et le milieu familial, il est peu probable qu'il ait eu accès au français hors de l'école dans ses premières années:
"Marcel Divanach (1908–1978) était un instituteur, conteur et écrivain breton.
Il a passé son enfance et son adolescence à Lesconil, dans le Pays Bigouden où son père était marin-pêcheur. Après quoi, reçu à l'École Normale de Quimper, il fut instituteur à Penmarc'h (1927-1938), Saint-Jean-Trolimon (jusqu'en 1960), puis a terminé sa vie à Brest."
--MJ. 14 janvier 2013 à 11:02 (CET): OK. Il est dit plus bas que le breton est sa langue maternelle, et la page de discussion associée montre que la fiche a été relue par son petit fils. J'intègre son nom dans la liste des auteurs natifs d'un dialecte du breton.
J'ai créé une fiche associée à Divanach (1973). Peux-tu s'il te plait vérifier la donnée (ra beskerez?).