Construction du faux sujet

De Arbres

La structure du faux sujet est une structure qui débute par un groupe nominal qui ressemble au sujet mais n'est pas le sujet de la phrase.

Cette structure est caractérisée formellement par un syntagme nominal 'pivot' en zone préverbale qui co-réfère avec un élément pronominal dans le reste de la phrase.


(1) Hamon a oa sant Alar gant war ar c'hleuz en noz (...)
Hamon R était saint Alar avec.lui sur le talus dans.le nuit
'Hamon était sur le talus la nuit avec Saint Eloi à ses côtés.' Léon (Laneviec), Mellouet & Pennec (2004:57).


Propriétés syntaxiques

mise au passif

La construction dite du faux sujet supporte aisément la mise au passif.


(2) Honnez n'eo ket roet he zeod dezi da lipad mogeriou.
celle.ci ne'est pas donné son2 langue à.elle pour1 lécher murs
'Sa langue ne lui a pas été donnée pour lécher les murs (mais bien pour bavarder).' Trégorrois, Gros, (1984:152)

le syntagme pivot

Selon Gourmelon (2014:98), le syntagme pivot est le plus souvent animé. On trouve cependant de nombreux exemples où le pivot est un inanimé.


modification et cas

Le syntagme pivot est toujours au cas direct. Il peut être modifié.


(3) Al labourer douar, a-benn ma vez hanter-kant vloaz, a vez friket e gorf gand al labour.
le travailleur terre, quand que4 est moitié-cent année R est brisé son1 corps avec le travail
'Le cultivateur, quand il arrive à cinquante ans, a le corps brisé par le travail.'
Trégorrois, Gros (1984:53).


quantifieurs

Le 'pivot' peut être un quantifieur (4a,b).


(4)a. da Sadorn, poent lein maread zo echu o sizhun ganto
à1 samedi temps déjeuner beaucoup (R1) est fini leur2 semaine avec.eux
'Le samedi, à midi, beaucoup ont fini leur semaine.' Léon, Mellouet & Pennec (2004:182).


(4)b. Holl e oa buket o daoulagad ouzh Yann [...].
tous R4 était pointé leur2 yeux sur Yann
'Le regard de tous était pointé sur Yann [...].' Standard, Dupuy (2007:32).


préverbal ou postverbal

haut en périphérie gauche

Le pivot de la construction du faux sujet peut être relativement haut dans la zone préverbale.

En (1), le pivot est en position de topique suspendu. Il est séparé du rannig par une pause prosodique et une proposition circonstancielle.


(1) Me, [ evel m'am bez evet un dakenn win ], e lamm ar gwad dioustu em fenn.
Moi, comme que R.1SG ai bu un goutte vin, R saute le sang tout.de.suite dans.mon2 tête
'Moi, dès que je bois une goutte de vin, le sang me saute tout de suite à la tête.'
Trégorrois, Gros (1984:55).


postverbal dans les structures actives

Le pivot est souvent préverbal, mais peut aussi être postverbal.


(1) Mar deus tud hag a zo inouus, [...], ez eus lod all
si y.a gens que R est ennuyeux R y.a partie autre
eur blijadur tremen ganto eun eur pe ziou.
un1 plaisir passer avec.eux un heure ou deux
'S'il y a des gens qui sont ennuyeux, il y en a d'autres avec qui c'est un plaisir que de passer une heure ou deux.'
Abeozen (1943:110).


Hendrick (1988:84), suivi de Woolford (1991:524), notent que le pivot des constructions du faux sujet ne peut pas être postverbal dans les structures passives.


(2) Yann a zo bet sentet outañ gant ar vugale.
Yann R1 est été obéi à.lui avec le 1enfants
'Yann a été obéi des enfants.' Hendrick (1988:84)


(3) Sentet a zo bet (* Yann) outañ gant ar vugale.
obéi R1 est été à.lui avec le 1enfants
'Yann a été obéi des enfants.' Hendrick (1988:84)

le pronom co-référent

inventaire des pronoms

Le pronom co-référent peut être un déterminant possessif, un pronom objet ou le pronom objet incorporé d'une préposition.


(1) Honnezh a zo vif an dro anezhi.
celle.là R est vif le tour P.elle
'Elle a la riposte prompte.'
Trégorrois, Gros (Gros (1970:'tro'.6)


(2) Ar roué a deue mall d’ezan da sklerijenna e letern ha da ziskouez e c’hoant.
le roi R1 venait impatience à.lui de éclairer son1 lanterne et de1 montrer son1 envie
'Le roi piaffait d'éclairer sa lanterne et d'exprimer son désir.'
Krog (1924), cité dans Ar C’hog (1983:10)


Le pronom co-référent peut être un pronom vide exactement dans les mêmes restrictions qu'ailleurs dans la langue. Dans le cas des prépositions de type e-barzh, 'dedans', le pronom anaphorique peut ne pas être prononcé.


(3) Plad Sant Alar, e poent ma veze bouchoù bihan hennezh, a veze traoù e-barzh _
plat Saint Eloi P moment que était poulains petit celui.ci, R était choses dedans
'A l'époque des poulains, le plat de saint Eloi, il était bien garni.'
Léon, Mellouet & Pennec (2004:58).


(4) Va dourn kleï 'di va stamm ganeoñ e-bard _.
mon main gauche est mon tricot avec.moi dans _
'Mon tricot se trouve dans ma main gauche.' Sein, Kersulec (2016:26)


Les pronoms objets peuvent aussi n'être pas prononcés. Urien (1989:211) propose (5) comme un exemple d'objet vide en construction du faux sujet. Cependant, cet exemple pourrait aussi être un cas de mouvement de l'objet.


(5) Evit ar re-mañ a rankomp da gas _ d'ar bed all.
pour le ceux-ci R devons de1 envoyer ø à le monde autre
'Puisque nous devons envoyer ceux-ci dans l'autre monde.'
breton du Léon, Inizan (1977:205) EMG., cité dans Urien (1989:211)


Le pronom co-référent peut aussi être le pronom vide PRO sujet d'une infinitive, comme dans la causative en (6).


(6) Eur brezoneg hag a vije dipituz [ lezel [ _ da vond [ da hesk ]]].
un bretonx que R serait dommage laisser PROx à aller à tari
'Un breton qu’il serait dommage de laisser tarir.' Naig Rozmor, introduction de Ar Vastardez, par Lagadec


Pour Urien (1989:211), le pronom co-référent peut aussi être un pronom sujet incorporé à l'accord verbal. Cependant, dans les cas où le pivot coréfère avec un morphème d'accord verbal, ce pivot doit être très éloigné du pronom co-référent. Il est plus probable qu'il s'agisse d'un fait de résomption. Si c'est bien le cas, alors la construction du faux sujet ne peut pas utiliser de pronom sujet comme pronom co-référent.


(7) Toud ar rehier ... a lavarfed ez int bet savet gwechall...
tous le rochers ... R dirait.IMP R sont été dressés autrefois
'Tous les rochers ... on dirait qu'il sont été dressés autrefois.'
Léon, Miossec (1978:55), cité dans Urien (1989:211)


L'élément co-référent doit absolument être de type pronominal. Comme le note Urien (1989:211), l'élément coréférent ne peut jamais être ni un déterminant, ni un démonstratif (ar plac'h-se, houmañ).

distribution

Un seul syntagme nominal 'faux sujet' peut coréférer avec plusieurs pronoms.


(1) Youenn, ma ne oa ket pounner samm ar bloavezhiou war e chouk,
Youenn C ne était pas lourd poids le années sur son1 cou/dos
na pounner bec’h ar rebechou war e goustians,
ni lourd charge le reproches sur son1 conscience
ne oa ket kennebeut kalz pounneroc’h pouez an aour en e yalc’h louedet.
ne était pas non.plus beaucoup plus.lourd poids le or dans son1 bourse grise
'Le dos de Youenn n'était pas écrasé sous le poids des années, ni sa conscience sous le poids des reproches, ni non plus beaucoup sa bourse grise sous le poids de l'or.'
Crocq (1924), cité dans Ar C’hog (1983:10)


Le pronom anaphorique peut être situé au loin, enfoncé dans deux niveaux d'enchâssement comme en (2).


(2) Emaoc'h o tanzen sammañ war ho chouk ur bec'h [ CP a c'hallfe bezañ [ CP ne vefec'h ket evit]].
êtes.vous à4 préparer charger sur votre3 cou un charge R1 pourrait être ne seriez pas P.lui
'Vous vous préparez à vous mettre sur le dos une charge qu'il se peut que vous ne puissiez pas assumer.'
Standard, Dupuy (2007:23).


La construction du faux-sujet est compatible avec la dislocation à gauche.


(3) Mex, [ max daoulagad ] y am-eus poan enno y.
moi mon2 2-œil R.1SG a mal dans.eux
'Moi, j'ai mal aux yeux.' Trégorrois, (Gros 1984:137)


(4) An dostenn-zex, honnezx a zo peg hex hrohenn ouz hex hein.
le avare- celle.là R est collé son2 peau à son2 dos
'Cette avare-là, celle-là a la peau collée au dos.' Trégorrois, (Gros 1984:137)


distance pivot-pronom

La distance entre le pivot et son pronom coréférent peut être considérable. Dans la structure passive en (1), le verbe lexical et le sujet interviennent entre le pivot et son pronom coréférent.


(1) Mona a zo bet lennet ul lizher dezhi gant Yannig.
Mona R1 est été lu un livre à.elle avec Yannig
'Mona, il lui a été lu une lettre par Yannick.' Hendrick (1988)


En (2), c'est le prédicat qui intervient entre les deux.


(2) Te a zo bet re hir da fri, dalc’hmat.
toi R est été trop long ton1 nez toujours
'Tu as toujours été trop curieux.' Standard, Drezen (1990:75)


la proposition

La proposition qui modifie le pivot peut être un domaine CP, ou bien une petite proposition.


à ne pas confondre

La construction du faux sujet est une structure où le pivot en début de phrase c-commande son pronom anaphorique coréférent plus bas dans la structure.

L'inverse existe aussi, avec un pronom cataphorique possessif qui co-réfère avec un groupe nominal lexical qu'il ne c-commande pas.


(2) O fenn, a glevan lavared, a vez ingalet d'ar vugale nevez-hanet.
leur2 tête R1 entends dire R1 est arrangé à'le 1enfants nouveau2-né.
'J'entends dire qu'on modèle leur tête aux nouveaux-nés.' Trégorrois, Gros (1989:'ingali')


Il ne s'agit pas d'une construction du faux sujet, car o fenn est réellement le sujet de cette phrase passive. La pause prosodique avant l'incise pourrait ici suggérer que o fenn est en position de topique suspendu.

La phrase en (3) n'est pas une structure du faux sujet, car aucun pronom ne co-réfère avec le "pivot".


(3) [CONTEXTE: A: - "Amañ er vro e oa sañset unan hag a lakae muioc'h a ludu evit ar re all..."
Ici, dans le coin, il y avait un gars, je crois, qui mettait plus d'engrais que les autres...]
B: - Un tiegezh a oa cheñchet tud e-barzh _ ...
un maisonnée R était changé gens dedans
'Une ferme avait changé de locataire.'
Léon, Mellouet & Pennec (2004:92).


Structure informationnelle

Selon Ar Merser (2009:546), le pivot est, dans ces constructions, "mis en relief". Selon Gourmelon (2014:98), les pivots animés portent l'information nouvelle de la phrase.


expressions idiomatiques

La construction du faux sujet est communément utilisée dans les expressions idiomatiques:


(4) Honnez a zo peg ar hrohen ouz he hein.
celle.ci R est collé le peau P son2 dos
litt. 'Elle a la peau collée au dos.' > 'Elle est avare.'
Le Berre & Le Dû (1999:55)


(5) Homañ a zo dir war he bizaj.
celle.là R est acier sur son2 visage
litt. 'Elle a de l'acier sur le visage.' > 'Elle est effrontée, elle a toute les audaces.'
Le Berre & Le Dû (1999:56)

Variation dialectale

La construction du faux sujet est représentée dans tous les dialectes. Voir, entre autres, Guillevic & Le Goff (1986:138) en vannetais, Leclerc (1986:63,fn1) en trégorrois, Fave (1998:48-52) en Léonard.


(1) Ma zud a zo noz a pa zegouezhont.
mon gens R est nuit quand1 arrivent
'Il fait nuit quand mes hommes arrivent.' Vannetais, Herrieu (1974:112)


(2) Hounne 'di an tan en he reor.
celle.ci est le feu dans son cul
'Celle-là a le feu aux fesses.' Sein, Kersulec (2016:26)


Cependant, les dialectes (et les locuteurs!) varient dans leur utilisation de cette structure, ainsi que dans le rannig qui y est utilisé.


rannig utilisé

Selon, la très prescriptive Académie bretonne (1922:290), le rannig a est "préférable dans la construction à deux sujets", ce qui laisse entrevoir une variation réelle.

Selon Fave (1998:51), le rannig a1 est toujours utilisé dans la construction du faux sujet en Léon, sauf pour les deux premières personnes des verbes beza, 'être', et mont, 'aller'. Miossec (1980:70), lui, utilise le rannig a1 même à la première personne plurielle de la copule eo.


(2) Ar gambr a 'z om resevet enni a zo eur gambr vihan.
le1 chambre R 'z sommes reçu dans.elle R est un1 chambre 1petite
'La chambre dans laquelle nous sommes reçus est petite.' Léon, Miossec (1980:70)


En bas-vannetais, c'est le rannig a1 qui est utilisé (sous sa forme /ǝ/1).


(1) [ ənani zi fɛrm jəst etaldaɲ ]
an hini zo e ferm just etaldin
le celui R est son ferme juste à.face.à.moi
'Celui dont la ferme est juste à côté de moi.'
Bas-vannetais (Kistinid), Nicolas (2005:106)


Fave (1998) signale des constructions du faux sujet avec eo, donc plausiblement le rannig e4 en Trégor. Pour le trégorrois Le Roux (1957), il y a alternance:


 «SO est la forme est la forme relative employée quand le sujet précède… 
 Parfois par une sorte d’attraction cette forme est employée dans les cas 
 où on attendrait EZ EO, comme si le mot qui précède était sujet». 


On trouve aussi des constructions du faux sujet avec eo ou ez eus dans Drezen (langue standard).


(1) Te a zo re domm da vro.
toi est trop1 chaud ton1 pays
'Ton pays est trop chaud.' Standard, Drezen (1932:6)

Mais:

(2) Va bro-me eo ho Kastilha Gozh ur gouelec’h krin ha kras en he c’heñver.
mon pays-moi est votre Castille Vieille un désert aride et desséché à son encontre
'Mon pays à moi, votre Vieille Castille est un désert aride et desséché à côté.'
Standard, Drezen (1990:30)


(3) E c’hourlanchenn ez eus ur vouilhenn enni.
son gosier R y.a un bourbier dans.elle
'Il a un bourbier dans le gosier.' Standard, Drezen (1990:68)


Le cornouaillais Trépos note une alternance des rannigs dans la construction du faux sujet.

 Trépos (2001:§427)
 «Dans certaines phrases commençant par un nom ou un pronom auquel se rapporte 
 une préposition conjuguée, la particule verbale e est souvent remplacée par la 
 particule verbale a. Ce sont les phrases à double sujet».

restriction de personne en vannetais

En vannetais, la construction du faux sujet est restreinte à la troisième personne.

 Guillevic & Le Goff (1986:138) : "Dans le dialecte de Vannes, on évite de commencer cette forme de phrase par un pronom personnel et de dire, par exemple: 
 
 me zou milén mem bléu /1SG est jaune mon chevelure/, 'J'ai les cheveux blonds'
 hui e zou mal d'oh monet, /2PL R est urgent à.vous aller/, 'Vous avez hâte d'y aller'
 
 Cette restriction est d'ailleurs difficile à justifier."


Cette restriction n'est pas présente en vannetais du XV°.

Diachronie

Le système casuel breton ne marque pas de cas morphologique sur les noms. Forcer un topique à coréférer avec un pronom est une stratégie de désambiguisation des rôles syntaxiques.

Dès 1499, le voyageur allemand Arnold von Harff récolte cette structure à Nantes.


(1) me vel tin paia.
moi (R)1 plait à.moi payer
'Je veux payer.' Moyen breton vannetais, Gl.AvH, cité dans Guyonvarc'h (1984:18)

Terminologie

Cette structure est connue sous différents noms. Leclerc (1986:63,fn1) l'appelle un complément anticipé. Urien (1989) l'appelle la relation médiate. Pour Fave (1998:48-52), c'est un complément redoublé (en breton, renadenn adveneget). Gros (1984:136) appelle ces structures anaphores. Pour Plourin (1998:298), ce sont des structures à groupe nominal défini initial anaphorique. Pour Favereau (1997:§587), ce sont des structures intégrées. Pour Trépos (2001:§427, §576, etc.) et pour Ar Merser (2009:546), ce sont des phrases à double sujet.

En syntaxe formelle, Jouitteau (2005/2010) et Rezac (2009) appellent cette structure la construction du faux sujet, en anglais, wrong subject construction. Rezac (2013) utilise le terme construction du double sujet, ou en anglais le terme broad subject, opposé à narrow subject.

Bibliographie

Description de la variation dialectale

  • German, G. 2007. 'Language Shift, Diglossia and Dialectal Variation in Western Brittany:the Case of Southern Cornouaille', The Celtic languages in contact : Papers from the workshop within the framework of the XIII International Congress of Celtic Studies, Bonn, July 2007, Hildegard L. C. Tristram (ed.), Postdam. pdf.
  • Leclerc, Louis. 1986 [1906, 1911], Grammaire Bretonne du dialecte de Tréguier, 3ième édition, Ar Skol Vrezhoneg, Emgleo Breiz (précédentes Saint-Brieuc: Prud'homme).
  • Plourin, J.-Y. 1998. 'La phrase bretonne comprenant le verbe ETRE au présent de l’indicatif. Conflits de topicalisation', La Bretagne Linguistique 11:281-300.

Ouvrages théoriques

  • Jouitteau, M. 2005/2010. La syntaxe comparée du Breton, , éditions universitaires européennes, ISBN 978-613-1-52800-2. manuscrit en pdf ici ou ici.
  • Rezac, M. 2013. 'The Breton double subject construction', Ali Tifrit (éd.), Phonologie, Morphologie, Syntaxe Mélanges offerts à Jean-Pierre Angoujard, PUR, 355-379. - version 2009 avant édition: pdf
  • Rezac, M. 2011. Rezac, M. 2011. ‘Building and interpreting a nonthematic A-position: A-resumption in English and Breton’, Alain Rouveret (ed.), Resumptive pronouns at the interfaces, Language faculty and beyond, Benjamins. 241-286. (pdf de la version 2008)
  • Urien, J-Y. 1989a. La trame d'une langue, le Breton: Présentation d'une théorie de la syntaxe et application, Lesneven: Mouladurioù Hor Yezh.
  • Urien, J-Y. 1989b. 'Le verbe "bezañ" et la relation médiate', Klask 1: 101-128.