Différences entre les versions de « Discussion:Noms collectifs »

De Arbres
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--[[Utilisateur:Jadé Loïc|Jadé Loïc]] ([[Discussion utilisateur:Jadé Loïc|discussion]]) 13 mai 2014 à 11:28 (CEST) Dans le chapitre "reprise anaphorique plurielle", je vois que "chatal" et "moc'h" sont tous deux considérés comme des noms collectifs ; or, s'il n'existe pas de singulier pour "chatal", il existe pour "moc'h" le singulier "hoc'h". Est-ce qu'à ce titre, des noms comme "saout, yer, kezeg, chas... " seraient à considérer comme collectifs car non formés par un nom au singulier suivi d'une marque de pluriel ?
--[[Utilisateur:Jadé Loïc|Jadé Loïc]] ([[Discussion utilisateur:Jadé Loïc|discussion]]) 13 mai 2014 à 11:28 (CEST) Dans le chapitre "reprise anaphorique plurielle", je vois que "chatal" et "moc'h" sont tous deux considérés comme des noms collectifs ; or, s'il n'existe pas de singulier pour "chatal", il existe pour "moc'h" le singulier "hoc'h". Est-ce qu'à ce titre, des noms comme "saout, yer, kezeg, chas... " seraient à considérer comme collectifs car non formés par un nom au singulier suivi d'une marque de pluriel ?
: --[[Utilisateur:Mjouitteau|MJ.]] ([[Discussion utilisateur:Mjouitteau|discussion]]) 14 mai 2014 à 14:19 (CEST): Il est tout à fait possible que dans des variétés de breton, les collectifs soient juste devenus des pluriels irréguliers, avec la particularité d'un singulier morphémique (''X.[[-enn]]'', ''penn X'', ''pezh X''). Certains collectifs viennent déjà historiquement d'anciens pluriels. J'attends d'avoir collecté plus de données pour te donner une réponse plus précise.
: --[[Utilisateur:Mjouitteau|MJ.]] ([[Discussion utilisateur:Mjouitteau|discussion]]) 14 mai 2014 à 14:19 (CEST): Il est tout à fait possible que dans des variétés de breton, les collectifs soient juste devenus des pluriels irréguliers, avec la particularité d'un singulier morphémique (''X.[[-enn]]'', ''penn X'', ''pezh X''). Dans cette hypothèse, on a un nom ''moc'h'' de statut différent dans les dialectes qui ont un singulier en ''hoc'h'' et dans ceux où on a un singulier en ''penn-moc'h'' (dans la mesure où ce singulatif est vivant en synchronie, cf.carte [http://sbahuaud.free.fr/ALBB/Kartenn-470.jpg 470] de l'ALBB)
: Certains collectifs viennent déjà historiquement d'anciens pluriels, comme le cornouaillais ''raed'', ''div raedenn'' (carte [http://sbahuaud.free.fr/ALBB/Kartenn-545.jpg 55]). J'attends d'avoir collecté plus de données pour te donner une réponse plus précise.




--[[Utilisateur:Jadé Loïc|Jadé Loïc]] ([[Discussion utilisateur:Jadé Loïc|discussion]]) 13 mai 2014 à 09:56 (CEST) Les chapitres 4 et 7 s'appellent tous les deux "A ne pas confondre". Ne serait-il pas plus clair d'avoir un seul chapitre à ce nom, comprenant deux thèmes ?
--[[Utilisateur:Jadé Loïc|Jadé Loïc]] ([[Discussion utilisateur:Jadé Loïc|discussion]]) 13 mai 2014 à 09:56 (CEST) Les chapitres 4 et 7 s'appellent tous les deux "A ne pas confondre". Ne serait-il pas plus clair d'avoir un seul chapitre à ce nom, comprenant deux thèmes ?
: --[[Utilisateur:Mjouitteau|MJ.]] ([[Discussion utilisateur:Mjouitteau|discussion]]) 14 mai 2014 à 14:19 (CEST): Oui, tout à fait. J'ai suivi ta suggestion.
: --[[Utilisateur:Mjouitteau|MJ.]] ([[Discussion utilisateur:Mjouitteau|discussion]]) 14 mai 2014 à 14:19 (CEST): Oui, tout à fait. J'ai suivi ta suggestion.

Version du 15 mai 2014 à 08:25

--Jadé Loïc (discussion) 13 mai 2014 à 11:28 (CEST) Dans le chapitre "reprise anaphorique plurielle", je vois que "chatal" et "moc'h" sont tous deux considérés comme des noms collectifs ; or, s'il n'existe pas de singulier pour "chatal", il existe pour "moc'h" le singulier "hoc'h". Est-ce qu'à ce titre, des noms comme "saout, yer, kezeg, chas... " seraient à considérer comme collectifs car non formés par un nom au singulier suivi d'une marque de pluriel ?

--MJ. (discussion) 14 mai 2014 à 14:19 (CEST): Il est tout à fait possible que dans des variétés de breton, les collectifs soient juste devenus des pluriels irréguliers, avec la particularité d'un singulier morphémique (X.-enn, penn X, pezh X). Dans cette hypothèse, on a un nom moc'h de statut différent dans les dialectes qui ont un singulier en hoc'h et dans ceux où on a un singulier en penn-moc'h (dans la mesure où ce singulatif est vivant en synchronie, cf.carte 470 de l'ALBB)
Certains collectifs viennent déjà historiquement d'anciens pluriels, comme le cornouaillais raed, div raedenn (carte 55). J'attends d'avoir collecté plus de données pour te donner une réponse plus précise.


--Jadé Loïc (discussion) 13 mai 2014 à 09:56 (CEST) Les chapitres 4 et 7 s'appellent tous les deux "A ne pas confondre". Ne serait-il pas plus clair d'avoir un seul chapitre à ce nom, comprenant deux thèmes ?

--MJ. (discussion) 14 mai 2014 à 14:19 (CEST): Oui, tout à fait. J'ai suivi ta suggestion.